Livret
VI
Notes :
“ Il
ne faut jamais considérer sa propre faiblesse. C’est la force de
l’esprit sacré de l’amour qui donne le pouvoir d’enseigner. La
pensée de notre propre faiblesse ne pourrait que nous désespérer. ”
‘Abdu’l-bahá
(10.5)“ Délie
ta langue, et enseigne ;
que ton visage soit illuminé du feu de l’amour
divin. Ne te repose point un seul instant, ne prends point d’aise.
Ainsi, tu pourras devenir un signe et un symbole de l’amour
divin, un étendard de sa grâce. ”
(Sélection
des écrits de
‘Abdu’l-bahá)
“ Les
jours
où l’adoration passive était jugée suffisante sont révolus.
L’heure
est venue où seuls les motifs les plus désintéressés, appuyés
par des actes sans tache, peuvent s’élever jusqu’au Trône du
Très-Haut et trouver grâce auprès de Lui. Seules les bonnes
paroles suivies de bonnes actions seront exaltées devant Lui.
(Épître
aux "Lettres du Vivant"
du Báb)
(Chapitre :
34)“ Tout
homme imparfait est replié sur lui-même et ne songe qu’à son
propre bien. Mais, lorsque ses pensées prennent un peu d’ampleur,
il commence à songer au bien-être et au confort de sa famille.
Si ses idées s’élargissent
davantage, il se préoccupera du bonheur de ses concitoyens, puis il
songera à la gloire de son pays et de sa race.
Lorsque ses idées et ses vues
atteindront leur ultime degré de développement et parviendront au
stade de la perfection, il s’intéressera alors à l’exaltation
de l’humanité.
Il deviendra l’ami bienveillant de
tous les hommes et recherchera le bien-être et la prospérité de
toutes les nations. Ainsi répondra-t-il aux critères de perfection.
Donc, les manifestations de Dieu ont
eu une conception universelle, qui incluait toutes choses. Elles ont
combattu pour l’amour de chaque vie humaine et se sont engagées à
promouvoir l’éducation universelle. Le champ de leur action
n’était pas limité ; au contraire, il était vaste et
incluait toutes choses.
C’est la raison pour laquelle vous
devez aussi vous préoccuper de chacun de vos semblables, afin que
l’humanité puisse être éduquée, les tempéraments des hommes
modérés, et que ce monde se transforme en un jardin d’Éden.
Aimez toutes les religions et toutes
les races d’un amour vrai et sincère ; manifestez cet amour
par des actes et non par des paroles, car celles-ci n’ont pas
d’importance; en effet, la plupart des hommes sont, en paroles, des
amis bienveillants, tandis que l’action est la meilleure voie. ”
(Sélection
des écrits d’‘Abdu’l-bahá)
“ On
ne peut pas séparer le cœur
de l’homme
de l’environnement
qui l’entoure,
et dire qu’une
fois que l’un
d’eux
aura été changé, tout s’améliorera.
L’homme
est une partie organique du monde. Sa vie intérieure façonne
l’environnement
et est elle-même profondément influencée par lui. L’un
agit sur l’autre,
et chaque changement durable dans la vie de l’homme
est le résultat de ces réactions mutuelles ”
(Shoghi
effendi 1933 – extrait de
Perspective
bahá’íe
sur la nature et l’environnement)
“ En vérité, je loue mon
Seigneur suprême de vous avoir choisi pour rappeler son nom parmi le
peuple, de vous avoir attiré vers la bonté d’Abhá
et vous fortifier pour rendre sa Cause victorieuse ”
( ???
?)
“ Je
prie Dieu de parer vos têtes des perles de sa faveur, d’allumer
dans vos cœurs le feu de l’amour de Dieu, de libérer vos langues
pour prononcer des mots éloquents et des significations et mystères
excellents dans l’assemblée des fidèles, de faire de vous des
roses du paradis d’El Abhá,
des anges du ciel,
unis en opinions, harmonieux en pensées et de manifester sur vos
visages des signes de la sainteté du Royaume parmi le peuple. ”
( ???)
“ Si
tu désires que ton discours et ta parole aient de l’effet sur les
cœurs endurcis libère toi de tous attachement à ce monde et
tourne-toi, de tout attachement à ce monde et tourne-toi vers le
Royaume de Dieu. ”
( ???)
(chapitre
158)“ Dieu
a prescrit à chacun le devoir d’enseigner sa cause. Quiconque se
lève pour remplir ce devoir doit nécessairement, pour que sa parole
attire les cœurs réceptifs à son appel, se parer d’un caractère
intègre et louable. Autrement, il ne pourra jamais influencer ses
auditeurs. ”
(ExtraitsdesÉcritsde
Bahá’u’lláh)
(Chapitre :
21)“ Portez
vos regards au-delà de l’époque actuelle et considérez l’avenir
avec les yeux de la foi. Aujourd’hui c’est le temps des
semailles, le grain tombe sur le sol ; mais le jour viendra où
s’élèvera un arbre splendide aux branches surchargées de fruits.
Réjouissez-vous
et soyez dans l’allégresse, car ce jour commence à poindre.
Tâchez d’en apprécier la puissance car, véritablement, c’est
un jour merveilleux.
Dieu
vous a comblés d’honneur, et en votre cœur, Il a déposé une
radieuse étoile dont, en vérité, la clarté illuminera le monde. ”
(Causeries
d’‘Abdu’l-baháà
Paris)
(chapitre 1.14)“ Peut-on
concevoir un plus grand bienfait que celui-ci :
un individu, regardant en lui-même, découvre que, par la grâce
fortifiante de Dieu, il est devenu une cause de paix et de bien-être,
de bonheur et d’avantage
pour ses frères !
Non, par le seul vrai Dieu, il n’y
a pas de plus grande bénédiction ni de plus complet délice ! ”
(Le
secret de la Civilisation Divine
– ‘Abdu’l-bahá)
(Chapitre
8.4)Les
attributs
de la perfection :
1-
L’étude (8.4)
2-
La justice (8.23)
3-
La sincérité (8.29)
4-
Autres
attributs de la perfection : Les vertus.(8.35)
Les
autres attributs de la perfection sont la crainte de Dieu, aimer Dieu
en aimant ses serviteurs ; être doux, patient et calme; être
sincère, soumis, clément et compatissant ; être résolu et
courageux, digne de confiance et énergique ; actif, généreux,
loyal et sans malice ; être dévoué et avoir le sens de
l’honneur ; avoir un esprit élevé ; être magnanime et
respecter les droits d’autrui.
Quiconque
ne possède pas toutes ces excellentes qualités humaines est en
défaut.
Si
nous devions expliquer la signification intrinsèque de chacun de ces
attributs, “ Le poème requérerait soixante-dix ‘maunds’
de papier. ”
(Le
secret de la Civilisation Divine
– ‘Abdu’l-bahá)
– Une
religion mondiale
– Promis
de tous les âges
– L’essence
de Dieu est inconnaissable
– Dieu
est le créateur
– Nous
avons été créer par amour
– Alliance
éternelle
– Manifestation
de Dieu
– Le
temps d’une Manifestation est venue
– Unité
de l’humanité
– Rejoins-nous
dans nos efforts pour apporter Sa vision
“ Le
remède souverain ordonné par le Seigneur, le moyen le plus puissant
pour la guérison du monde entier, c’est l’union de tous ses
peuples en une cause universelle, une même foi. ”
(La
proclamation de Bahá'u'lláh)
(A1.4)“ Ô
fils de l’homme !
J’ai
aimé ta création, aussi
t’ai-je
créé. Aime-moi donc
afin que je mentionne ton nom et que, de l’esprit
de vie, j’emplisse ton âme. ”
(Bahá’u’lláh
–
ISBN 0-88867-127-XPublications
Bahá’íCanada
2e trimestre
2004)
(4,1)“ Voici
le jour où les plus précieuses faveurs ont été prodiguées aux
hommes, le jour où sa puissante grâce a imprégné toutes les
choses créées.
Il incombe à tous les
peuples du monde de concilier leurs différends. et de se ranger,
unis dans la paix la plus parfaite, à l’ombre
de l’arbre de sa providence
et de sa tendre bonté. Il leur faut s’attacher
à tout ce qui, en ce jour, peut exalter leur condition et servir
leurs véritables intérêts. ”
(à
Ghulam-Husaynde
Bahá’u’lláh)
“ Bahá'u'lláh a tracé le
cercle de l’unité ; il a fait un plan pour unir tous les
peuples et les rassembler à l’ombre de la tente de l’unité
universelle. Ceci est l’œuvre de la bonté divine et nous devons
nous efforcer de cœur et d’âme à réaliser cette unité parmi
nous. Tandis que nous y travaillons, la force nous sera donnée. ”
(Causeries
d’‘Abdu’l-bahá
à
Paris)
“ Souviens-toi de mes jours
durant tes jours, de ma
détresse et de mon bannissement en cette prison lointaine. Demeure
si ferme en mon
amour que ton cœur ne
vacille pas, dussent les épées ennemies
faire pleuvoir leurs coups sur toi, et le ciel
et la terre se soulever contre toi. ”
(Extrait
Tablette
d’Aḥmad
de
Bahá’u’lláh)
(45.1-3)“ Celui
qui est la Beauté ancienne s’est
laissé charger de chaînes pour que l’humanité
soit libérée de son esclavage, et il a accepté d’être
emprisonné dans cette puissante forteresse pour que le monde entier
parvienne à la vraie liberté.
Il
a bu jusqu’à
la lie le calice de l’infortune
afin que tous les peuples de la terre puissent atteindre à la joie
éternelle et qu’ils
soient remplis d’allégresse ;
ceci est dû à la miséricorde de votre Seigneur, le Compatissant,
le très Miséricordieux. Nous avons, ô croyants en l’Unité
de Dieu, accepté d’être
abaissé pour que vous soyez exaltés, et Nous avons souffert une
multitude d’afflictions
pour que vous deveniez florissants et prospères. Or, voyez comment
ceux qui s’érigent
en partenaires de Dieu ont forcé d’habiter
la plus désolée des cités Celui-là même qui est venu
reconstruire le mondes. ”
(ExtraitsdesÉcritsde
Bahá’u’lláh)
“ Qui, hormis Dieu, dissipe les
difficultés ?
Dis : Loué soit Dieu ! Lui seul est
Dieu !
Tous sont ses serviteurs et tous se soumettent à
son commandement ! ”
(Báb
– Livre de prières ISBN 2-87203-063-8 Maison
d’édition Bahá’íe
Belgique 2e édition 2004, p182)
“ Dis :
Dieu suffit à tout, au-delà
de tout, et rien, ni dans les cieux ni sur la
terre, sauf Dieu, ne peut suffire.
En
vérité, il est en Lui-même
Celui qui sait, le Soutient,
l’Omnipotent. ”
(Báb
– Livre de prières ISBN 2-87203-063-8 Maison
d’édition Bahá’íe
Belgique 2e édition 2004, p183)
“ Ô
mon Dieu, je témoigne que tu m’as créé pour te connaître et
pour t’adorer.
J’atteste,
en cet instant, mon impuissance et ton pouvoir, ma pauvreté et ta
richesse.
Il n’est
pas d’autre Dieu que toi, le Secours dans le péril, l’Absolu. ”
(Bahá’u’lláh
– Livre de prières ISBN 2-87203-063-8 Maison
d’édition Bahá’íe
Belgique 2e édition 2004)
(2.44)“ O
compagnon de mon
trône !N’écoute
pas le mal et ne vois pas le mal ;
ne t’abaisse
pas et ne laisse échapper ni soupirs ni larmes.
Ne dis pas de mal afin de ne pas en entendre dire de
toi,
ne grossis pas les fautes des autres pour que les tiennes paraissent
moins graves,
et
ne souhaite l’humiliation
de personne afin que la tienne ne soit pas apparente.
L’esprit
sans tâche, le cœur immaculé, les
pensées pures et l’âme
sanctifiée, vie
les jours de ta vie plus courts qu’un moment fugitif. Alors libre
et heureux,
tu abandonneras
cette forme mortelle pour te retirerdans
le
paradis mystique et demeurer
à jamais au royaume éternel. ”
(Bahá’u’lláh
–
ISBN 0-88867-127-XPublications
Bahá’íCanada
2e trimestre
2004)
(1,13)“ ô
fils de l’esprit !
Je t’ai
créé riche, pourquoi t’abaisses-tu
à la pauvreté ?
Je t’ai
fait noble, comment peux-tu t’avilir ?
De l’essence
du savoir, je t’ai
donné
la vie, pourquoi cherches-tu la lumière auprès d’un
autre ?
De l’argile
de l’amour,
je t’ai
modelé,
comment peux-tu t’occuper
d’un
autre que moi ?
Tourne ton regard vers toi et
tu me
trouveras
en toi, puissant, fort, absolu. ”
(Bahá’u’lláh
–
ISBN 0-88867-127-XPublications
Bahá’íCanada
2e trimestre
2004)
(37.2)“ Les
aimés de Dieu et les servantes du Miséricordieux doivent, d’une
manière vivante et affectueuse, élever leurs enfants à l’école
de la vertu et de la perfection. Ils ne doivent se permettre, en ce
domaine, ni la mollesse ni la grande indulgence.
En
vérité, si un enfant ne vivait pas, ce serait meilleur pour lui que
de grandir ignorant, car alors, cet enfant innocent serait la
victime, dans le cours de sa vie, d’innombrables
carences, il serait incapable de répondre aux questions de Dieu,
dénigré et tenu à l’écart
par tous. Quel péché ce serait, et quelle grave omission…
Voici
le premier devoir des aimés de Dieu et des servantes du
Miséricordieux : s’efforcer, par tous les moyens possibles,
d’éduquer les filles aussi bien que les garçons. Il n’y a pas
la moindre différence entre eux.
L’ignorance
est blâmable chez les unes comme chez les autres et la négligence
dans l’un
et l’autre
cas est à réprouver. L’ignorant
vaut-il autant que le savant ?
(L’Art
divin de vivre de Bahá’u’lláh)
“ Ô Dieu rafraîchis et réjouis mon
esprit. Purifie mon cœur. Éclaire mes facultés.
Je remets toutes mes affaires entre tes mains. Tu
es mon guide et mon refuge.
Je ne veux pas m’abandonner plus longtemps à la
tristesse et au chagrin, je veux être débordant de joie et de
bonheur. Ô mon Dieu, je ne veux plus être envahi par l’anxiété
ni laisser les tourments m’accabler. Je ne veux plus m’appesantir
sur les ennuis de la vie. Ô Dieu, Tu es pour moi un ami plus
véritable que je ne le suis moi-même.
Je me consacre à Toi ô Seigneur. ”
(‘Abdu’l-bahá,
Livre
de prières)